Afin de limiter les conséquences d’une baisse d’activité liée à l’épidémie de COVID-19, le Gouvernement a souhaité redimensionner le dispositif d’activité partielle (couramment appelé « chômage partiel »). Un projet de décret réformant le dispositif actuel est en cours d’élaboration. Cette page sera mise à jour dès la parution de ce décret.
Effectuez vos démarches directement en ligne sur le portail https://activitepartielle.emploi.gouv.fr
Pour toute demande d’assistance téléphonique gratuite pour la prise en main de l’outil « Activité partielle » :
Numéro vert : 0800 705 800 pour la métropole et les DOM de 8 h à 18 h
Pour toute demande d’assistance au support technique par courriel : contact-ap@asp-public.fr.
Adhérents du GNI des questions, votre contact : Grégory Hulin, directeur emploi-formation-conditions de travail : g.hulin@gni-hcr.fr
Qui contacter ? Unité départementale de la Direccte
Quelles conséquences sur le contrat de travail ?
Lorsque les salariés sont placés en position d’activité partielle, le contrat de travail est suspendu mais non rompu. Ainsi, sur les heures ou périodes non travaillées, les salariés ne doivent pas être sur leur lieu de travail, à disposition de leur employeur et se conformer à ses directives.
Le contrat de travail étant suspendu, les salariés perçoivent une indemnité compensatrice versée par leur employeur. Cette indemnité doit correspondre au minimum à 70 % de la rémunération antérieure brute et peut être augmentée par l’employeur. En cas de formation pendant l’activité partielle, cette indemnité est portée à 100 % de la rémunération nette antérieure.
Quelle compensation financière pour l’employeur ?
Pour accompagner le versement de l’indemnité, l’employeur bénéficie d’une allocation forfaitaire cofinancée par l’Etat et l’Unédic :
7,74 euros pour les entreprises de moins de 1 à 250 salariés ;
7,23 euros pour les entreprises de plus de 250 salariés.
Cliquez ici pour accéder à la fiche dédiée à l’activité partielle de la CPME.