Le questionnaire en ligne
Le questionnaire est élaboré avec de nombreuses questions ouvertes, laissant la liberté et le choix aux répondants avec comme volonté de ne pas diriger les réponses pour être le plus représentatif des attentes. Les réponses obtenues seront ordonnées afin d’alimenter un débat par des propositions concrètes relatives à notre secteur d’activité.
A partir des réponses récoltées dans le questionnaire et des évolutions communes attendues pour la profession, le GNI Occitanie organise le lundi 25 février à 16h dans le centre de Toulouse (nous sommes dans l’attente d’une attribution d’une salle municipale) un débat ouvert à tous les professionnels CHRDT. Ce débat sera un moment d’échange et de dialogue, il reprendra les réponses aux questionnaires afin de bâtir un consensus de propositions pour des solutions communes à la profession.
Le GNI Occitanie a comme volonté d’innover, de se moderniser, d’être à l’écoute des tendances et des attentes pour comprendre les opportunités de nos métiers et faire face aux défis. Le recueil des attentes permettra de porter la voie des professionnels du secteur CHRDT qui représente sur le plan national plus de 960 000 actifs. Figurant traditionnellement parmi les grands acteurs de l’économie nationale, les hôteliers et les restaurateurs sont présent sur tout le territoire, presque dans chaque commune et offre ainsi un large éventail de services de proximité à travers les multiples établissements. Créateur d’emplois depuis des décennies, le secteurs CHRDT contribue également à faire de la France l’un des premiers acteurs mondiaux du tourisme. Il est aujourd’hui indispensable pour le secteur de se faire entendre dans le grand débat national.
Le GNI Occitanie apporte son plein soutien à l’ensemble des commerçants impactés par les manifestations et la violence.
Le GNI Occitanie condamne fermement les dégradations commises en marge des manifestations. Deux tiers des commerçants du centre-ville toulousain sont impactés par les manifestations des gilets jaunes et déclarent en moyenne un chiffre d’affaires en baisse de 30%. Ces actes, d’une violence incroyable mettent chaque semaine de plus en plus en péril l’activité de nos commerces alors que les caractéristiques mêmes de nos métiers sont l’accueil et l’échange.
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